Toute l’équipe d’Actions Formations vous souhaite un
Joyeux Noël et de bonnes fêtes de fin d’année, à partager avec vos proches, dans
la douceur exceptionnelle de ce mois de décembre.
19 ans d’expérience dans la formation et le conseil auprès des professionnels des secteurs sanitaire et médico-social.
mercredi 23 décembre 2015
mercredi 16 décembre 2015
La lutte contre le gaspillage alimentaire s'organise en EHPAD
À l’heure actuelle, nous
jetons entre 20 et 30 kilos de nourriture par an. Pour combattre ce gaspillage
alimentaire, il faut changer nos habitudes. Mais cette lutte n’est pas seulement
l’affaire de chacun. En effet les collectivités locales, elles aussi, jettent
beaucoup, notamment lorsqu’elles gèrent des services de restauration.
C’est à la suite de ces
constatations qu’une charte pour "mieux manger, moins jeter en Ehpad",
a été signée le 8 décembre entre la secrétaire d’État aux Personnes âgées, la
Fehap (Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne
privés non lucratifs) et le groupe SOS Seniors.
La charte ne présente
aucun caractère obligatoire, ce sera donc sur la base du volontariat que les
maisons de retraite seront libres de développer cette initiative. Par exemple,
dans le Val de Marine, l’Ehpad Érik-Satie, qui a ouvert ses portes en 2015, a
mis en place une collecte des biodéchets. Ce type de comportement doit être mis
en avant par la charte, initiée « à la
fois dans la dynamique de la COP 21, à
travers la lutte contre le gaspillage alimentaire, et également dans la
préoccupation constante de l’amélioration de la qualité de l’alimentation en
EHPAD et la lutte contre la dénutrition », explique le ministère.
Encourageant cette
démarche, Actions Formations vous forme et vous conseille pour vous aider à
optimiser la fonction restauration au sein de vos établissements. Consultez
notre catalogue.
Sources : LA
GAZETTE SANTE SOCIAL, Gaspillage
alimentaire : les EHPAD s’engagent, 9 décembre 2015, [en ligne] disponible sur < http://www.gazette-sante-social.fr/24850/gaspilage-alimentaire-les-ehpad-sengagent >
consulté le 16 décembre 2015
LA GAZETTE SANTE
SOCIAL, Lutte contre le gaspillage
alimentaire : une opération gagnante pour les collectivités, 25 septembre
2015, [en ligne] disponible sur < http://www.gazette-sante-social.fr/dossiers/lutte-contre-le-gaspillage-alimentaire-une-operation-gagnante-pour-les-collectivites >
consulté le 16 décembre 2015
jeudi 10 décembre 2015
La loi vieillissement adoptée
Mercredi 2 décembre, les
députés ont enfin trouvé un accord concernant le projet de loi d’Adaptation de
la société au vieillissement.
Les points essentiels de
cet accord sont les suivants :
- Un plancher de 28% du produit de la Contribution Additionnelle de Solidarité pour l’Autonomie (CASA) sera affecté au budget de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie. Les fonds seront ensuite répartis vers les conférences départementales des financeurs de la perte d’autonomie. La CASA sera également allouée à hauteur de 55,9 % en 2016 puis 70,5 % à la réforme de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA).
- L’APA sera revalorisée même si le texte ne prévoit pas son financement sur le long terme. Par conséquent, ce point inquiète les départements qui craignent une évolution démographique des personnes âgées entraînant une explosion des demandes d’allocation dans les années à venir.
- L’agrément des services à la personne disparaîtra au profit d’une simple autorisation délivrée par les conseils départementaux dès la promulgation de la loi.
- Les sénateurs voulaient mettre en place un Haut Conseil de l’âge qui n’existera finalement pas, remplacé par le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge. Rattaché au Premier ministre, il sera chargé « d’animer le débat public et d’apporter aux pouvoirs publics une expertise prospective et transversale sur les questions liées à la famille et à l’enfance, à l’avancée en âge, à l’adaptation de la société au vieillissement et à la bientraitance, dans une approche intergénérationnelle » (article 46). Il assurera aussi la poursuite de la réflexion sur l’assurance et la prévoyance en matière de dépendance en collaboration avec le Conseil national consultatif des personnes handicapées.
Comme promis par le
gouvernement, la loi d’Adaptation de la société au vieillissement sera
applicable au 1er janvier 2016.
Source : LA
GAZETTE SANTE SOCIAL, Loi
vieillissement : ce qu’il faut retenir de l’accord en CMP, 3 décembre
2015, [en ligne] disponible sur < http://www.gazette-sante-social.fr/24746/loi-vieillissement-ce-quil-faut-retenir-de-laccord-en-cmp >
consulté le 9 décembre 2015
mercredi 2 décembre 2015
L'analyse de la pratique professionnelle
La loi du 21 juillet 2009 Hôpital, Patient, Santé,
Territoires, dans son article 59, instaure une obligation commune à tous les
professionnels de santé, paramédicaux et médicaux, de suivre un programme DPC
(Développement Professionnel Continu). Les modalités de mise en œuvre sont
précisées dans les décrets d’application
de décembre 2011 et janvier 2012.
L’analyse de la pratique professionnelle doit faire partie
des activités proposées dans ces programmes de DPC. Elle doit être associée au
développement et au perfectionnement des compétences.
Dans ce contexte, il faut prévoir l’approche
et la méthodologie des actions d’analyse des pratiques et la mise en œuvre de
cette obligation qui suppose une appropriation de concepts nouveaux et des
enjeux pour les établissements.
L’analyse des pratiques professionnelles, lors d’une
activité explicite comporte :
- un temps dédié,
- un référentiel d’analyse reposant sur des
références actualisées (scientifiques, réglementaires, organisationnelles,
éthiques, consensus d’experts…),
- une analyse critique et constructive des
pratiques réalisées, par rapport à la
pratique attendue,
- des objectifs et des actions
d'amélioration,
- un suivi de ces actions et une restitution
des résultats aux professionnels.
L’activité d’analyse des pratiques doit être :
- soit intégrée à la démarche cognitive, au
moment de l’identification des besoins de formation ou de l’évaluation de
l’impact de la formation,
- soit externalisée, en complément de
l’activité cognitive, et articulée avec elle.
Actions Formations vous propose une parcours de
formation visant la mise en place d’un groupe d’analyse des pratiques professionnelles
(GAP) au sein des établissements concernés.
Source : HAUTE AUTORITE DE
SANTE, Développement professionnel
continu : méthodes et modalités de DPC, Décembre 2012, [en ligne]
disponible sur < http://www.has-sante.fr/>
consulté le 02/12/2015
jeudi 26 novembre 2015
Prêts pour notre transformation digitale ?
Actions Formations est un organisme de Développement
Professionnel Continu (DPC), et habilité par l’OGDPC à dispenser des formations
dans ce cadre. Depuis la disparition du DIF (Droit Individuel à la Formation)
et les nouvelles mesures voulues par la réforme (cf. notre article Plan de formation 2016 : à l'heure de la réforme...), les organismes de notre secteur doivent faire face à la diminution des
programmations inter-entreprises. En conséquence, nous devons nous adapter à
ces nouvelles conditions pour pérenniser notre activité.
Ainsi, à l’heure où la formation joue de plus en plus
souvent la carte du numérique et où les organismes de formation doivent faire
face à de nombreuses restrictions budgétaires, Actions Formations a pris la
décision de développer de nouveaux types de parcours de développement
professionnel. Ces derniers seront mixtes, ou blended learning en anglais, et
combineront des heures de cours en présentiel et des modules de formation en
ligne.
Pour pérenniser l’activité des organismes de formation,
le blended learning présente de nombreux avantages. Il va permettre de
maîtriser les coûts tout en conservant le souci des exigences qualité qui est
au cœur de l’offre de formations de notre organisme. Outre cet avantage
considérable, le blended learning permettra aussi de familiariser les
apprenants à l’informatique qui sera dans l’avenir un outil indispensable quel
que soit le métier envisagé. Dans le domaine de la santé, de nombreuses
innovations incluent déjà la problématique des nouvelles technologies.
Ce nouveau mode de formation, que nous développerons au
cours de l’année 2016, permettra aussi de mieux maîtriser les plannings en
adaptant plus facilement les temps de formation aux exigences de ces derniers.
En effet, les modules de formation à distance peuvent être suivis par les
apprenants à tout moment, leur permettant donc de rester disponibles durant
leurs heures de travail si besoin.
Bien sûr, cette évolution vers le blended learning, si
elle rencontre le succès auprès de nos apprenants, viendra peut-être ouvrir une
porte vers la création d’une offre de formation totalement digitale. Cela nous
permettrait alors de gommer davantage les distances, et d’apporter la valeur
ajoutée de notre expertise et de notre démarche qualité plus largement sur le
territoire national, voire international.
Pour en savoir plus, consultez l'article suivant : Innover pour pérenniser son activité d'organisme de formation par Anne Ambrosini.
mercredi 18 novembre 2015
Plan de formation 2016 : à l'heure de la réforme...
Depuis la réforme du 5
mars 2014, la législation de la formation professionnelle a été modifiée ;
notamment au niveau de l’obligation de formation au sein des entreprises.
Désormais, il n’y a plus de contribution financière obligatoire à la formation
continue, chaque entreprise peut décider du budget alloué à la formation.
L’objectif est de développer des plans de formations en adéquation avec les
besoins des entreprises et des salariés.
Pour cela, la réforme de
la formation professionnelle agit à 2 niveaux :
- Elle favorise l’acquisition de compétences en lien avec les réalités économiques.
- Elle simplifie les démarches et les obligations légales liées à la formation professionnelle.
La réforme place aussi le
dialogue entre l’employeur et le salarié au cœur de ses préoccupations :
- Un entretien professionnel est désormais obligatoire tous les deux ans. Il permet d’étudier les perspectives d’évolution professionnelle des salariés et de faire le bilan des formations déjà suivies.
- Tous les six ans, cet entretien est complété par un bilan du parcours professionnel du salarié avec son employeur.
De plus, la réforme renforce
l’obligation de l’employeur d’assurer l’adaptation de chacun de ses salariés à
son poste de travail, de veiller au maintien de sa capacité à occuper son
emploi, au regard notamment des évolutions technologiques, ainsi qu’à lui
assurer une formation à la sécurité. En effet, au-delà d’une contribution
réduite destinée à la mutualisation (financement du Compte Personnel de
Formation et du Congé Individuel de Formation notamment), l’entreprise a
désormais le choix d’affecter le budget qui lui convient et aux types d’actions
qu’elle souhaite.
Dans ce contexte, la
formation n’est plus une obligation contraignante mais devient un véritable
investissement. Le dernier trimestre de l’année étant celui de l’élaboration du
plan de formation de l’année suivante, le moment est venu pour les entreprises
de mettre la réforme en pratique.
Sous certaines conditions,
le plan de formation pourra être pluriannuel : une forme plus souple que
beaucoup d’entreprises ont déjà fait le choix d’adopter.
Malgré ces
assouplissements, le budget que les entreprises pourront allouer à la formation
risque fort de connaître une diminution si l’on en croit les tendances
actuelles. Il est donc nécessaire de trouver des modes de formation plus
économiques comme la formation digitale, reconnue comme action de formation à
part entière par la loi du 5 mars 2014, et dont beaucoup d’entreprises ont une
image positive.
Sources : « Plan
de formation 2016 : Ce que change la réforme », INFFO FORMATION, N°886 du 15 au 31 octobre 2015
MINISTERE DU
TRAVAIL, DE L’EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL, Comprendre la réforme de la formation
professionnelle, 2014, [en ligne] disponible sur <http://travail-emploi.gouv.fr/espaces,770/formation-professionnelle,1937/formation-professionnelle,2506/comprendre-la-reforme-de-la,18194.html>
consulté le 17/11/2015
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